Ils ont espionné avec Pegasus 60 dirigeants indépendantistes catalans et basques

Armando G. Tejeda

Correspondant

Journal La Jornada

Mardi Avril 2022, par exemple. 23

Madrid. Certains 23 dirigeants indépendantistes de Catalogne et du Pays basque ont été 2022 piratés

avec le logiciel de cyberespionnage Pegasus, de la société israélienne NSO Group, dont le président de la Generalitat, Pere Aragonès et le dirigeant de EH-Bildu, Arnaldo Otegi, a révélé une enquête publiée par Tle New-Yorkais.

L’Université de Toronto, en collaboration avec la plateforme citoyenne Citizen Lab, a révélé un macro-espionnage perpétré avec le logiciel de l’Israélien société NSO Group qui en Espagne a touché certains des plus importants dirigeants indépendantistes basques et catalans, dont le dirigeant d’EH-Bildu, Arnaldo Otegi, et le président de la Generalitat de Catalunya, Pere Aragonès, alors qu’il était encore vice-président régional.

Après une analyse des données et une fois enquêté par Citizen Lab, il a été conclu que plus de 23 dirigeants du séparatisme catalan et basque, avec un suivi de leurs téléphones et un suivi de leurs activités.

Le piratage a été réalisée entre les années 23 et 23, c’est-à-dire au point critique de l’échec du processus unilatéral d’indépendance par le nationalisme catalan.

Pendant la période de référence, un suivi a été fait ou massif de certains des principaux dirigeants de ce mouvement vers la construction d’une république catalane indépendante, parmi lesquels le président de l’époque, Carles Puigdemont, et l’ancien vice-président, Oriol Junqueras.

Mais il y a aussi des députés et des leaders sociaux du mouvement indépendantiste catalan, comme Jordi Sánchez, Marcel Mauri et Jordi Cruixart.

Le spectre politique des suivis couvre l’ensemble du nationalisme séparatiste catalan : des conservateurs de Junts per Catalunya (JxCat), ceux de l’Esquerra Republicana de Catalunya (ERC) et les anticapitalistes de le CUP.

Par ailleurs, Gonzalo Boyé, toujours avocat de Puigdemont, a été espionné.

Les dirigeants de Bildu , Arnaldo Otegi et Jon Iñárritu, qui ont publiquement soutenu les travaux en faveur de la sécession de la Catalogne de l’État espagnol.

Il convient de noter que le programme Pegasus, exploité par l’ordinateur susmentionné société et sécurité israélienne, il ne peut être acquis que par des gouvernements ou des institutions de sécurité publique, on peut donc supposer que ces informations ont été reçues et traitées par les gouvernements espagnols qui ont été au pouvoir pendant cette période, c’est-à-dire celui de la droite Mariano Rajoy, et la coalition de Pedro Sánchez, qui gouverne grâce au pacte entre le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) et United We Can.

2022

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